Les syndromes suivants ont été signalés :
Maladies diarrhéiques : Fidji, Vanuatu
Syndrome grippal : Nouvelle-Calédonie
Fièvre prolongée :Îles Salomon
Autres relevés :
Virus Zika
Samoa américaines : Au 19 mai, on dénombrait 606 cas suspects d’infection à virus Zika depuis le 1er janvier 2016. Parmi eux, 17 cas ont été confirmés en laboratoire et 8, observés chez des femmes enceintes. On continue de recenser en moyenne 2 à 4 cas par jour, les moins de dix ans étant les plus touchés. Pour tout complément d’information, veuillez vous reporter au message diffusé sur PacNet le 23 mai 2016 par Mme Fesili Niumata-Foifua.
État de Kosrae (États fédérés de Micronésie) : Au 22 mai, on dénombrait au total 90 cas d’infection à virus Zika, dont 11 cas confirmés. Pour tout complément d’information, veuillez consulter le message diffusé sur PacNet le 22 mai 2016 par Afeke Kambui.
Samoa : Au 16 mai, on dénombrait 167 cas suspects d’infection à virus Zika, dont 24 cas confirmés, depuis le mois d’août 2015. Source : ministère de la Santé du Samoa.
Conjonctivite
- Tonga : L’épidémie se poursuit, et le nombre de nouveaux cas hebdomadaire est en augmentation. Au 15 mai, on dénombrait 1437 cas depuis janvier dernier. Source : ministère de la Santé des Tonga.
Fièvre jaune
Au 19 mai 2016, on dénombrait 2 420 cas suspects de fièvre jaune et 298 décès en Angola, où 736 cas ont été confirmés en laboratoire. Malgré les campagnes de vaccination menées à Luanda, le virus circule encore dans la plupart des districts de la capitale, ainsi que dans 5 autres provinces.
Un comité d’urgence concernant la fièvre jaune a été convoqué par le Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) au titre du Règlement sanitaire international (RSI, 2005) le 19 mai 2016. Sur la base des avis formulés par ce comité, le Directeur général a décidé que les flambées urbaines de fièvre jaune en Angola et en République démocratique du Congo constituaient un événement de santé publique grave qui justifiait l’intensification des mesures au niveau national et le renforcement du soutien international. L’événement ne constitue pas à ce stade une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI). Des informations complémentaires sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.who.int/mediacentre/news/statements/2016/ec-yellow-fever/fr/.